A. MaryeLou de France Admin
» Je déteste la monarchie. ♪ Comérages : 79 ♪ Entrée à la cour le : 25/04/2011 ♪ Etudes - Métiers : Princesse de France, Etudiantes en littérature & Mannequin. ♪ Célébrité : Nina Dobrev ♥ ♪ Origine : Anglaise&Espagnole♥
| Sujet: ♪ Andréa MaryeLou DE FRANCE; &Princesse. Lun 9 Mai - 13:51 | |
| MARYELOU DE FRANCE
L'HYPOCRISIE EST ET, SERA TOUJOURS UN VICE A LA MODE.
©Valingai ♪ ft. Nina Dobrev. | | MON MASQUE Nom ♫ De France Prénom(s) ♫ MaryeLou Âge ♫ 19ans Lieu de naissance ♫ Versailles. Métier - Études ♫ Princesse & Mannequin. Origine(s) ♫ Anglaise & Espagnole. Groupe ♫ Famille Royale. Statut sociale ♫ Royauté. Orientation sexuel ♫ Hétérosexuelle. |
AMBITIEUSE ♪ CAPRICIEUSE ♪ PÉTILLANTE ♪ SEDUCTRICE ♪ MALIGNE ♪ IMPETUEUSE © poisonouslover-tumblr Le bal du roi est un bal ayant lieu en fin d’année et, organisé par le roi Estéban conviant uniquement les plus riches de son royaume. Cependant, il est très fréquent que les petits gents soient également de la parti, conviés pour accompagné des demoiselles de hautes familles ou pour quelconques autres raisons. Lorsque la grande porte s’ouvra, il y eut un silence pesant. Une demoiselle de quelques hauteur s’avança dans une magnifique robe a jupon. Puis, un murmure. Les hommes se bousculèrent pour la voir et, les intimes s’inclinaient avec un sourire discret sur son passage. Rendant hommage à sa chevelure flamboyante si connu du tout Versailles. Elle marchait, si calme et si tendre, d’une élégance presque touchante. Elle marqua un cour arrêt devant son frère ainée, futur roi de France. Lui tira sa révérence et d’une douceur infini il s’accommoda à son bras. Ils reprirent une marche toute aussi douce, fluide, d’une arrogance presque impolie. Le roi s’approcha de son unique fille, baisant sa main d’une élégance et dans un silence glaciale. La jeune fillette de huit ans, s’accommodant d’un air indifférent comme s’il s’agissait d’un jour comme les autres. Les femmes, qu’elles soient du peuple ou de haute noblesse la désignait du regard, furtivement. La jalousant du haut de son petit âge de part son élégance et sa richesse exposée à tous… La jeune fillette se tourna face a son peuple. Une voix s’éleva brisant le silence.
« Longue vie a la princesse Athéna MaryeLou de France. »
Les voix du peuple se levèrent répétant a de nombreuses reprises les mêmes vives acclamations. Le roi d’un regard fier, laissa percevoir un léger sourire, son fils à sa gauche et la reine aux traits confiants à sa droite. Le roi s’avança vers sa fille, la couronne de cette dernière tout juste fabriquée entre ces mains. La jeune princesse s’inclina alors nettement, comme pour recevoir les bénédictions d’un dieu. Et lorsqu’elle releva la tête, digne, fière, les yeux pétillants d’espoir, elle ne réalisait pas alors que sa vie venait de changer.
Cher journal, Voilà déjà 9 ans que j’ai était couronnés. Je me rappel pourtant de ce jour comme si c’était hier. Pourtant, je ne parvins à expliquer comment les choses me paraissent différentes à présent. Je me souvins de la sensation que j’avais me tenant devant mon peuple. Digne, fière, et par-dessus tout heureuse d’être le modèle du pays. C’était comme ci un rêve se réalisé et, j’imagine que c’était le cas. N’importe quel petite fille rêve d’être une princesse aux magnifiques robes et a la couronne singulière. Pourtant, je n’avais pas réalisée les conséquences d’être reconnue comme telle. L’ignorance dont m’avait préservé mes parents jusqu’à cette âge là était sensé m’être bénéfique. J’avais grandis jusqu’à mon couronnement dans une tranquillité parfaite. Il n’y avait, pour tout dire que les avantages d’un tel statut. L’argent, les domestiques, et des jouets à n’en plus finir. Mais une si soudaine exhibition a était tel un violent coup de fouet. Les choses qui m’amusaient ne m’amusent plus.
L’arrivée de ma sœur n’a rien arrangée, bien au contraire, il ne me fallait plus seulement être un exemple pour le peuple mais également dans ma plus stricte intimité…. S’en est devenue pesant et j’ai commis le premier écart de ma carrière de Princesse, première d’une bien longue et tragique liste. Monsieur d’Istagne est particulièrement distinguée, charmeur et plus compréhensif qu’on ne pourrait le croire. Il était là au bon endroit et au bon moment. J’ai pourtant rapidement mis un terme à ces ébauches clandestines mais je me rendais compte a quel point les interdictions me séduisaient. Quel plaisir je prenais a assouvir mes fantasmes les plus secrets. Mais là encore, je me trompais. Pensant qu’enfin certaine de mes décision m’appartenait et, que je pourrais tromper mon monde comme je le faisais depuis quelques mois au bras de ce dernier. Je me trompais.
Le soleil venait à peine de se coucher. Le temps se rafraichissait nettement. Allongée sur le flanc de mon cheval, pensive, je réalisais alors qu’il fallait désormais rentrer.
« Woody, il est l’heure de rentrée. » je me relevais et Woody se releva en suite. Je m’approchais de l’arbre ou j’avais préalablement déposé la scelle et le tapis de ce dernier. Je passais mes doigts sur l’inscription brodée portant mes initiales. Woody m’avait était offert par mon père a mes douze ans. Conscient de la passion que j’avais pour ces fascinants animaux. Par chance, j’avais presque grandis dans les écuries, toujours au flanc de cette jument Wysteria. A sa mort, j’en avais était inconsolable, mon père m’avais donc céder son unique descendant, Woody. Et, depuis, il était devenue mon meilleur ami. Je passais d’ailleurs la plupart de mes après midi a me prélasser à ses côtés dans la forêt, mieux encore, je savais que chacune de mes confessions disparaitrais aussitôt prononcer. Il les entendait, et qu’en dise les gens, il me comprend toujours. Après l’avoir harnaché, je remontais en selle, me dirigeant vers le château. Galopant dans les champs de verdures environnent les jardins. Ma course s’arrêta à l’entrée de l’écurie. Tandis que je rentrais Woody à son box, une voix m’interpella.
« Princesse. » je détournais mon regard vers cette voix que je reconnus très vite. Il s’agissait du messager du roi, un sujet. Il me souriait et me fis une révérence qui me fis soupiré brièvement. « Le roi désire que vous le rejoigniez dans ces appartements. » a ces paroles, un court silence s’installa. « Savez-vous pourquoi ? » déclarais-je après quelques instants m’approchant de lui comme pour le persuadé de tout me révéler. « Pourquoi le saurais-je ? » répondis-il presque instantanément. Je soupirais, balayant les environs des yeux avant de me recentré dans le regard de ce dernier… « Entendue. Merci. » Et puis, rien. Il resta là. Je rigolais et ajoutais en suite. « Vous pouvez disposez mon cher ! »
Ramenant Woody mes pensés se perdirent, cherchant comme une réponse à ce que mon père voudrais me dire. J’avais cette angoisse naissante au creux de l’estomac, comme ce mauvais pressentiment ou plutôt est-ce ce que l’on ressent lorsque l’on croit s’être fais attraper dans nos plus noirs mensonges. La culpabilité, voilà ce qui change quelqu’un, ça vous rend paranoïaque, à la limite de l’abus. Tout les regards semblent vous dévisageais et là ou vous n’auriez vu d’habitude que de langoureux regard, vous y distinguait le doute de votre personne. Fin fini, je rentrais au château, saluant les visiteurs du royaume et autres sujets que je venais à rencontrer au détour des couloirs me menant aux appartements du roi. Fin arrivée, prenant une grande inspiration je poussais l’immense porte me séparant de ce dernier. D’un geste automatique je la refermais m’approchant de lui jusqu’à en capter son regard.
« Mon ange, tu es là. » « Pardonnez ma tenue, je rentre tout juste d’une balade. » « C’est oublié. Rejoins-moi donc. »
Je m’approchais de lui d’un pas certain, presque détendue a son attitude il n’y avait visiblement pas de quoi s’inquiéter. Mon secret devait en être encore un. Cette seule pensée me rassura. Je pris alors place à ses côtés. Mon père n’avait jamais eu pour vertu le tact. Bien au contraire, il était homme à aller droit au but, sans aucun détour. Bien entendue, il n’aimait pas se voir contredire et seul la reine pouvait jouir d’avoir pu avoir une quelconques influences sur ces décisions.
« Comme tu le sais, le compte de Russie viens demain nous rendre visite. Il va séjourné au palais et pour cette singulière occasion, il souhaiterais déjeuner avec toi. » Un rire se faufila entre mes lèvres. « Voyons père, pourquoi le compte de Russie voudrais déjeuner avec moi. » « Ne t’en doute tu pas ? » « Comment ? Père, je vous en prie. Vous n’allez pas allez vous imaginez qu’il aurait un quelconque intérêt à mon égard » « Que vous dites ! ne serais-ce pas merveilleux ? C’est un homme influent et qui plus est, riche.. » « Merveilleux n’est pas le mot approprié ! J’aurais plutôt dis dégoutant ! C’est hors de question. » « Voyons ma fille, par les temps qui cour il est inutile de se mettre à dos les nations voisines. » « Père ! C’est un mariage arrangé. » « Ta mère et moi sommes issue d’un mariage arrangé. Voyez que nous n’en somme pas malheureux. » « Vous avez eu de la chance dans votre malheur, voilà tout. Il n’y a vraiment aucune chance pour qu’il puisse trouver grâce à mes yeux. » « Tu es comme ta mère, trop exigeante. »
JE T'AI PAS DIS ? ON EST DEUX.
PROVOCATION
♫ Prénom; Emilie ♫ Âge; 17ans ♫ Pays - Ville; France. ♫ Activités; 7-7 ♫ Commentaire; Mon bébé ♥ ♫ Le petit mot du règlement; c'est moi qui l'ai écrit non mais ! (a)
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