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 Emilie Juliette D'Artois || Être noble ne signifie pas s'ennuyer à mourir.

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AuteurMessage
E. Juliette D'Artois
E. Juliette D'Artois

» Je déteste la monarchie.

♪ Comérages : 1
♪ Entrée à la cour le : 07/11/2011
♪ Etudes - Métiers : comtesse, étudiante en management international.
♪ Célébrité : Leighton Meester
♪ Origine : Française - Américaine



♫ Les secrets noir de Versailles.
Le roi Estéban ? ♪:
Ton terrible secret ♪:
Un coeur ♪: Un coeur libre, et prit par tellement d'amant...
Emilie Juliette D'Artois || Être noble ne signifie pas s'ennuyer à mourir.  _
MessageSujet: Emilie Juliette D'Artois || Être noble ne signifie pas s'ennuyer à mourir.    Emilie Juliette D'Artois || Être noble ne signifie pas s'ennuyer à mourir.  EmptyLun 7 Nov - 17:11



Émilie Juliette D'Artois

    L'HYPOCRISIE EST ET, SERA TOUJOURS UN VICE A LA MODE.



Emilie Juliette D'Artois || Être noble ne signifie pas s'ennuyer à mourir.  Sanstitre5copie
© Soufy ♪ ft. Leighton Meester.

MON MASQUE

Nom ♫ D'Artois.
Prénom(s) ♫ Émilie Juliette.
Âge ♫ 20 ans.
Lieu de naissance ♫ Paris.
Métier - Études ♫ Étudie le management international.
Origine(s) ♫ Française - américaine.
Groupe ♫ La noblesse.
Statut sociale ♫ aisée.
Orientation sexuel ♫ Bisexuelle.





    L'histoire d'une vie



ToléranteÉgoïstePétillanteLibertineIntelligenteMoqueuseCultivée
Emilie Juliette D'Artois || Être noble ne signifie pas s'ennuyer à mourir.  Tumblr_lu9kvirIup1r1ddk5
© Tumblr

« -Monsieur Edouard Corentin D’Artois, Mademoiselle Emilie Juliette D’Artois et Mademoiselle Isabelle Agnès D’Artois. »

Richard D’Artois regardait ses trois enfants descendre les marches. Edouard, le plus âgé, un sourire amusé au lèvres, Emilie, la seconde, affichaient un regard de braise qui, il le savait en rendrait fou plus d’un en un soir, et Isabelle, la dernière, la plus douce mais tout aussi terrible que ses deux aînés. Le comte D’Artois ne se souciait guère de la réputation de ses enfants tant qu’ils se montraient à la hauteur de ses attentes.

« - Père ? »

Il reposa son verre, Juliette se tenait face à lui souriante comme à son habitude. Il observa un moment son enfant, elle était le portrait craché de sa mère. De longs cheveux châtains encadrant un visage radieux où luisaient deux yeux noisettes malicieux.

« - Oui ma Julie ? »

« - M’accorderiez-vous la première danse ? »

« - Mais bien sûr. »

Emilie Juliette, on l’appelait Juliette à la cours, mais en famille c’était Julie ou Juju. Sa seconde enfant. Richard avait toujours souhaité une famille nombreuse, aussi après la naissance d’Edouard avait-il continuer a avoir des enfants. Deux filles aussi resplendissante et libre d’esprit que lui. Le comte D’Artois avait épousé une jeune femme d’une intelligence redoutable et d’une beauté remarquable. Il aimait que ces deux qualités soient associé, et ils avait tout fait pour qu’elles se trouvent en ses filles.

Oui, c’est vrais que Richard avait toujours une préférence pour Juliette, il aimait beaucoup son esprit libéré, son indépendance… Pour cela il l’avait toujours un peu plus gâtée que les deux autres, et avait toujours eut du mal à ne pas céder aux caprices de la demoiselles. La petite famille avaient longtemps vécut aux Etats-Unis, être une importante famille de France ne les avaient nullement dérangé. Ils revenaient pour les grands événement, mariage, baptême, fait un signe de la main et sourit.

Cependant, la famille D’Artois ne pouvaient pas rester longtemps loin du pouvoir. C’était une espèce de tradition dans la famille, toujours accumuler plus de pouvoir, encore et encore… D’abord ils avaient fait de bon mariage, mais finalement à force d’être dépendant des banquiers ils leurs apparut que c’était peut être une bonne idée d’investir dans le monde financier. On commença par acheter une mine, puis un cabaret, on ouvrit des casinos, des bordels, mais aussi des usines quand elles émergèrent, des fabriques… Le dernier investissement à été fait par Madame Blair D’Artois, en rachetant une grande ligne de vêtement.

Ainsi, les filles D’Artois avaient toujours grandit dans cette univers de commerce où le plus important étaient de s’enrichir encore et encore un peu plus. Une recherche constante de pouvoirs financiers qui permettaient d’accroitre considérablement le pouvoir politique de la famille. Richard avait toujours fait en sorte que ses enfants soient prêt à reprendre l’empire familiale.

« - Quel dommage… »

Il sortit de ses pensées regardant un moment sa fille, qui avait l’air bien joyeuse pour le ton navré qu’elle avait emprunter.

« - De quoi ma toute belle ? »

« - Je pensais aux mariage de Jeanne. Quel dommage qu’elle est préféré le rang sur l’intelligence… Son époux est un rustre… »

Richard eut un sourire. Il avait toujours dit à ses enfants qu’ils épouseraient qui ils voudraient, pour peu que cette personne soit un parfait allié dans la vie.

« - Tu sais ce que je t’ai dit ma Juliette, je veux que tu épouses quelqu’un qui t’apportera quelque chose, argent ou des idées révolutionnaire pour bien gérer ton patrimoine. Un mariage ça ne rime à rien si c’est fait par amour ou en fonction de la classe sociale. Mieux vaut un bourgeois futé qu’un noble imbécile… Un mariage c’est une alliance… La romance et le plaisir c’est avec les amants… »

« - Je sais père, je sais… et pour les amants vous savez que mon frère, ma sœur et moi-même, avons déjà une certaine avance. »

Richard eut un petit rire, il n’ignorait de ses enfants qu’ils laissaient agir comme ils le désiraient.

« - Je le sais Juliette, mais ne ternis pas ta réputation pour autant. Garde tes secrets, et si quelqu’un les apprends assure-toi d’en savoir assez sur cette personne pour qu’il ne puisse rien dire sur toi. »

Il fit tourner sa fille et repartie s’asseoir avec son verre. Demain il repartait en France pour la simple et bonne raison qu’Edouard désirait y trouver une épouse.




JE T'AI PAS DIS ? ON EST DEUX.

    Derrière le masque..







PSEUDONYME

♫ Prénom; Noémie
♫ Âge; 20 ans
♫ Pays - Ville; France - Paris.
♫ Activités; La lecture, le rpg, et un tas d'autre chose.
♫ Commentaire; Un bien beau forum et un contexte intéressant.
♫ Le petit mot du règlement; Malcolm




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